REQUIEM – LA MORT JOYEUSE
Lun 20/01 : 20h30
le 20/01/2025
Béatrice Massin / Cie Fêtes galantes
Depuis presque trente ans, la chorégraphe Béatrice Massin revisite la danse baroque. Dans Requiem – la mort joyeuse, pièce pour 12 danseurs, elle continue à décliner les fondements du baroque pour en explorer les multiples détournements.
À partir de codes anciens, Béatrice Massin invente une nouvelle langue chorégraphique avec la sensibilité des danseurs et les conventions scéniques d’aujourd’hui. Si le Requiem a été composé par Mozart comme une messe des morts, la chorégraphie de Béatrice Massin nous en propose ici une vision florissante, rayonnante ! En forme de fresque visuelle alternant danses intimes et chorales, sa danse baroque n’est plus celle que dansait Louis XIV ; la délicatesse de ses gestes habite les corps d’aujourd’hui avec une douceur et une bienveillance lumineuses. Toute l’originalité de cette grande pièce de danse réside dans ce détournement du tragique que Béatrice Massin opère au profit d’un hommage emprunté aux rites colorés et joyeux de la fête des morts au Mexique. S’ensuit une chorégraphie monumentale gagnée par la beauté d’une vague et d’un sentiment océanique qui envahissent notre regard. Une plénitude que la danse accompagne brillamment pour un éblouissant hymne à la joie.
Depuis presque trente ans, la chorégraphe Béatrice Massin revisite la danse baroque. Dans Requiem – la mort joyeuse, pièce pour 12 danseurs, elle continue à décliner les fondements du baroque pour en explorer les multiples détournements.
À partir de codes anciens, Béatrice Massin invente une nouvelle langue chorégraphique avec la sensibilité des danseurs et les conventions scéniques d’aujourd’hui. Si le Requiem a été composé par Mozart comme une messe des morts, la chorégraphie de Béatrice Massin nous en propose ici une vision florissante, rayonnante ! En forme de fresque visuelle alternant danses intimes et chorales, sa danse baroque n’est plus celle que dansait Louis XIV ; la délicatesse de ses gestes habite les corps d’aujourd’hui avec une douceur et une bienveillance lumineuses. Toute l’originalité de cette grande pièce de danse réside dans ce détournement du tragique que Béatrice Massin opère au profit d’un hommage emprunté aux rites colorés et joyeux de la fête des morts au Mexique. S’ensuit une chorégraphie monumentale gagnée par la beauté d’une vague et d’un sentiment océanique qui envahissent notre regard. Une plénitude que la danse accompagne brillamment pour un éblouissant hymne à la joie.