INSULA ORCHESTRA
Dim 29/06 : 20h00
le 29/06/2025
Laurence Equilbey / David Fray / Les Phénomènes romantiques II
Le Parvis et le Festival L’Offrande Musicale s’associent pour accueillir l’une des meilleures formations françaises, Insula Orchestra, fondé et dirigé par Laurence Equilbey. Au programme, deux œuvres romantiques, le concerto pour piano d’Emilie Mayer interprété par David Fray, directeur artistique de l’Offrande Musicale, et la symphonie nº 9 de Schubert.
Depuis 2012, Insula Orchestra joue sur instruments d’époque les œuvres allant principalement du baroque au romantisme. Sa démarche rigoureuse au plan historique et l’innovation artistique qu’il développe en font un ensemble majeur de notre époque. Au travers des deux œuvres au programme se révèlent les choix, les difficultés et les solutions qu’apportent deux créateurs face à l’insurmontable nécessité de se confronter à deux génies : Mozart et Beethoven. Connue et reconnue comme une symphoniste de talent, Emilie Mayer était également une pianiste accomplie, dont l’expressivité est louée par les critiques de son temps. Son unique concerto pour piano, probablement écrit dans les années 1850, s’inscrit dans le lignage de ses deux illustres prédécesseurs. Œuvre de maturité, dernière symphonie que Schubert ait achevée, la 9e signe pour lui la fin d’une crise existentielle et créatrice. Éblouissante de vigueur et d’éclat, d’une intensité expressive rarement égalée, elle s’est imposée comme l’une des œuvres les plus célèbres de son auteur.
Le Parvis et le Festival L’Offrande Musicale s’associent pour accueillir l’une des meilleures formations françaises, Insula Orchestra, fondé et dirigé par Laurence Equilbey. Au programme, deux œuvres romantiques, le concerto pour piano d’Emilie Mayer interprété par David Fray, directeur artistique de l’Offrande Musicale, et la symphonie nº 9 de Schubert.
Depuis 2012, Insula Orchestra joue sur instruments d’époque les œuvres allant principalement du baroque au romantisme. Sa démarche rigoureuse au plan historique et l’innovation artistique qu’il développe en font un ensemble majeur de notre époque. Au travers des deux œuvres au programme se révèlent les choix, les difficultés et les solutions qu’apportent deux créateurs face à l’insurmontable nécessité de se confronter à deux génies : Mozart et Beethoven. Connue et reconnue comme une symphoniste de talent, Emilie Mayer était également une pianiste accomplie, dont l’expressivité est louée par les critiques de son temps. Son unique concerto pour piano, probablement écrit dans les années 1850, s’inscrit dans le lignage de ses deux illustres prédécesseurs. Œuvre de maturité, dernière symphonie que Schubert ait achevée, la 9e signe pour lui la fin d’une crise existentielle et créatrice. Éblouissante de vigueur et d’éclat, d’une intensité expressive rarement égalée, elle s’est imposée comme l’une des œuvres les plus célèbres de son auteur.